Bénin : un enseignant dit “poisson d’avril” à une vendeuse de riz et reçoit une bonne gifle
Un enseignant a fait un « poisson d’avril » à une vendeuse de riz à Parakou. En réponse, il a reçu une bonne gifle qu’il n’est pas prêt d’oublier.
Un poisson d’avril est une plaisanterie ou une farce que l’on fait le 1ᵉʳ avril à ses connaissances, à ses amis et sa famille. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet.
Une farce du 1er avril
Pour sacrifier à la tradition, un homme a fait un poisson d’avril à une vendeuse de nourriture à Parakou. Il s’agit d’un enseignant de secondaire dans un collège à Parakou. Après ses cours, il a fait un escale au quartier Boundarou où il a passé une commande qui s’élevait à 450 FCFA.
Quand la vendeuse lui a demandé ses sous, le jeune homme a répondu “poisson d’avril”. Mais très en colère, la vendeuse lui a donné une gifle. Les autres clients sont intervenus pour les calmer.
L’enseignant a expliqué qu’il s’agit d’une farce du 1er avril et qu’il ne faisait que rigoler avec la vendeuse qui , quand même connaissait très bien son côté taquin. De son côté, la dame s’est excusée en larmes.
Le prix du ciment n’a pas varié a l’usine mais les prix varient selon les départements. Ce qui serait juste était d’armoniser les prix au plan national comme celui de la bière qui ne varie pas. On pouvait par exemple fixer le prix de la tonne à 75000f et tout le monde le paye à ce prix. La différence par rapport au prix de cession à l’usine pourrait servir pour compenser le coût lié au transport vers les départements éloigné de l’usine. Voilà une manière juste de redistribution de la richesse du pays. C’est le même scénario qui se prépare au niveau de la zone économique spéciale de glodjigbé où de grandes usines seront installées. Ceux de l’intérieur du pays devront se préparer à acquérir les bien issues de cette zone à des prix différents des compatriotes résidant dans les environs de la zone. Alors que tous les départements du pays pouvaient accueillir cette zone industrielle.
Nous devons essayer de contrôler nos émotions