Le chanteur A’Salfa a donné les raisons de l’absence de sertains artistes au Femua qu’il organise chaque année en Côte d’Ivoire.
Le Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA), qui se tient du 14 au 19 mai, a une fois de plus enflammé les scènes ivoiriennes. L’événement a débuté à l’INJS de Marcory pour se conclure à Ferkessédougou, au Nord de la Côte d’Ivoire.
Lors de cette 16ème édition, A’Salfo, le lead-vocal du groupe Zouglou, a réagi à l’absence de certaines grosses stars de la musique nigériane. « Ils sont trop chers pour nous ! Si on les fait venir, on ne pourra pas construire d’école », a-t-il expliqué.
Chaque soir, le festival vibre au rythme d’artistes et de groupes de renom, notamment Les Patrons, Fadal Dey, Gadji Céli, Affou Kéïta, Elow’n, Fior 2 Bior, Morijah, Tamsir et O’Neal Mala (Côte d’Ivoire), Gims et Franglish (France), Sona Jobarteh, Yemi Alade (Nigéria), Sarkodie (Ghana) et Patche Di Rima. D’autres comme Yemi Alade (Nigéria), Gadji Céli, Affou Kéïta, Tamsir et Fior 2 Bior (Côte d’Ivoire) et bien d’autres.
Cette diversité musicale a offert un spectacle inoubliable, de quoi satisfaire tous les goûts. Le Femua compte une fois de plus prouvé son statut de rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique urbaine, et sa capacité à unir les cultures à travers la mélodie et le rythme.
