Le manager Rodolphe Hounkpatin a apporté un démenti formel sur l’information relative au supposé prêt de 17 millions de francs CFA de l’ex-capitaine des écureuils du Bénin Stéphane Sessegnon non payé chez une dame. Ladite information a été publiée par le quotidien « Le Pays Émergent » ce lundi 07 mars 2022.
Le supposé prêt d’une somme de 17 millions de francs CFA non remboursé par l’ancien capitaine des jaunes, Stéphane Sessegnon est une intox. Tel est ce qui ressort des propos du manager Rodolphe Hounkpatin. D’après les informations rapportées par le site sportif Méga Sports, c’est le journal « Le Pays Emergent » dans sa publication en date de ce lundi 7 mars 2022 qui a rapporté les faits citant l’intermédiaire comme Rodolphe Hounkpatin dans cette affaire.
À travers un point de presse ce lundi, Rodolphe Hounkpatin a été clair, concis et précis dans ses mots. L’homme a démenti formellement les faits rapportés par ce quotidien. « Il s’agit plutôt d’un canular, de la désinformation de la part de ce quotidien qui a visiblement décidé d’entacher mon honorabilité ainsi que la réputation du capitaine Stéphane Sessegnon qui a tant donné à l’équipe nationale du Bénin. Je peux vous assurer que je ne connais aucune dame qui aurait fait un prêt au capitaine Stéphane Sessegnon. Si cette dernière existe, je l’invite à se présenter devant la presse », a-t-il laissé entendre.
Rodolphe Hounkpatin ajoute que les faits publiés par le journal en question est une diffamation. « Vous constatez que je suis devant vous, je circule librement, je fais mes activités, j’ai ouvert ma boutique ce matin, et là je suis au stade de l’amitié Général Mathieu Kérékou de Cotonou. Je constate donc que le journal en question, a délibérément choisi de nous diffamer en colportant des faits qui n’ont jamais existé. Des faits montés de toutes pièces sans aucun fondement », a-t-il confié.
L’intéressé annonce des poursuites judiciaires à l’encontre des auteurs de cette publication. « Au demeurant, ensemble avec le capitaine Stéphane Sessegnon, nous prendrons les dispositions pour poursuivre les auteurs de ces écrits », a-t-il dit.