France : ce célèbre homme politique dort en plein discours d’Elisabeth Borne à l’Assemblée
Ce mercredi 6 juillet, Elisabeth Borne a prononcé son discours de politique générale devant l’Assemblée Nationale. Mais, si l’on en croit une photo relayée par l’un de nos confrères du JDD sur Twitter, la prise de parole de la Première ministre n’a pas intéressé tout le monde…
C’était un jour important pour Elisabeth Borne. Ce mercredi 6 juillet, la Première ministre était attendue à l’Assemblée Nationale pour présenter son discours de politique générale devant les députés. Si cette prise de parole a été l’occasion pour la remplaçante de Jean Castex d’exposer les grandes lignes de son projet gouvernemental, l’intéressée s’est retrouvée face à un auditoire difficile à convaincre, pour ne pas dire hostile. Parmi les députés présents pour l’occasion, figurait l’ancien vice-président du Front National (devenu Rassemblement National, ndlr), Bruno Gollnisch. Et à en croire un cliché relayé par l’un de nos confrères du Journal Du Dimanche, l’ancien bras droit de Jean-Marie Le Pen ne semblait pas très intéressé par le discours d’Elisabeth Borne.
“Dans le public, Bruno Gollnish s’est endormi. Ce qui amuse beaucoup les députés RN en contrebas”, a fait savoir le journaliste Robin D’Angelo, en légende d’une photo de l’ancien député européen assoupi et, par conséquent, pas vraiment attentif à ce qui se disait dans l’hémicycle à ce moment-là… Il faut dire que Bruno Gollnish n’était que de passage dans la capitale. D’après Nicolas Massol, journaliste politique au service politique de Libération, l’intéressé aurait “profité d’un passage à Paris pour aller déjeuner au restaurant de l’Assemblée et écouter la DPG d’Elisabeth Borne, depuis La tribune des anciens députés, surnommée ‘l’ossuaire'”, a indiqué notre confrère sur Twitter. Reste à savoir ce qu’il en a pensé…
Elisabeth Borne huée à l’Assemblée Nationale
Une fois n’est pas coutume, Elisabeth Borne a eu droit aux huées et sifflements lors de son discours de politique générale à l’Assemblée Nationale. Alors que la cheffe du gouvernement s’exprimait sur l’épineuse question de la réforme des retraites, elle a été témoin de plusieurs signes de protestation dans l’hémicycle. “En la matière, la transparence est une exigence, les faux-semblants un manque de respect pour nos concitoyens. Notre modèle social est un paradoxe, à la fois un des plus généreux et l’un de ceux où l’on travaille le moins longtemps”, a-t-elle observé, dans une séquence repérée par BFMTV. “Notre système de retraite est une exception, alors que l’on part plus tard chez la totalité de nos voisins européens”, a fait remarquer la Première ministre. Et de conclure : “Nous devrons travailler progressivement un peu plus longtemps.” Un discours qui a provoqué les applaudissements de la majorité d’une part, et les huées de l’autre.