La dame qui a été victime d’une violence conjugale de la part de son mari en veut à l’ONG qui lui a porté assistance dans cette affaire.
La femme victime de violence conjugale par son mari, enseignant assistant à l’UAC a exprimé sa colère contre les ONG qui l’ont aider à résoudre l’affaire qui a pris une autre allure sur les réseaux sociaux.
La victime dénonce que l’idéal serait pour l’ONG de régler le problème pacifiquement avec la sollicitation des coachs de couple plutôt que d’assigner son époux justice. Ce qui, pour la victime n’était pas une résolution durable « Je pensais que cette ONG allait intercéder comme les coachs de couple pour régler le problème mais elle a plutôt impliquée la justice pour jeter mon mari en prison » a-t-elle confié.
Elle poursuit ses allégations en mentionnant que l’incarcération de son mari a des conséquences fâcheuses sur le foyer car elle se retrouve confronté aux difficultés financières et l’abandon systématique de sa belle-famille. « Depuis là-bas (prison), il s’occupe de nous, mais ça va durer jusqu’à quand ? Actuellement, je me retrouve seule sans aucune aide. Ma belle-famille, en désaccord avec moi depuis des années, m’a abandonnée », s’inquiète-t-elle.
Face à cette situation à laquelle elle se trouve confrontée, la victime plaide auprès du procureur ainsi que de l’Association des femmes juristes du Bénin pour la libération de son époux, en vue de sauver l’avenir des enfants. « Je demande pardon au Procureur, pardon à l’Association des femmes juristes du Bénin. Je leur demande de tenir compte de l’avenir des enfants » a-t-elle priée.