“Il a ch*é sur mon visage”, le témoignage d’une béninoise victime du phénomène Porta Potty (vidéo)
Une jeune béninoise de 24 ans, dans sa quête de l’argent facile a servi de toilette pour un richissime homme. Victime du phénomène Dubaï Porta Potty qui a été révélé au grand jour il y a quelques mois, la jeune femme a fait des témoignages glaçants dans l’émission « Le Canapé de Tata Kimi » du 21 août 2022.
Le phénomène de Porta Potty qui a récemment défrayé la chronique à Dubaï est aussi présent à Cotonou. Dans l’émission « Le Canapé de Tata Kimi » du 21 août 2022, une jeune dame de 24 ans qui, dans sa quête de l’argent facile a servir de toilette pour un richissime homme, a fait un témoignage qui fait froid dans le dos.
Elle s’est fait chier dans la bouche en plein acte sexu3el et traîne depuis l’odeur. Malgré toutes les démarches menées pour retrouver son odeur corporel plaisant, Madame X n’a pas encore eu gain de cause. Elle a avoué que c’est son gout prononcé pour le luxe et son ambition de vite sortir de la pauvreté qui l’ont conduit dans cette situation.
Selon le récit des faits, tout a commencé lorsque madame X a posté en statut un sac dont elle avait pas les moyens financiers nécessaires de s’offrir. « Un ami m’a écrit en inbox et m’a fait savoir qu’il pouvait m’aider à avoir tout ce que je veux. Il suffit que je lui donne mon accord pour qu’il me branche aux bonnes personnes (riches) », a-t-elle confié.
Prudente, Madame X dit avoir fait de la diversion sur le sujet pour ne pas aller plus loin. Quelques jours plus-tard, elle a croisé son ami lors d’un événement. Ce dernier, en la voyant, n’a pas hésité à relancer la discussion lancée en suspend sur WhatsApp. Cette fois-ci, elle a mordu à hameçon en donnant son accord à son ami, le « démarcheur ».
La première rencontre entre Madame X et Monsieur X
Après avoir eu l’avis favorable de Madame X, l’ami s’est chargé d’organiser une rencontre à trois pour faire les présentations. Au cours de ce dîner, Madame X au-delà de l’intérêt financier, est tombée sous le charme de Monsieur X. « Il n’était pas mal. Charmant, élégant. Ça se voyait que ce dernier sentait de l’argent à travers son habillement, sa montre et son parfum », a-t-elle affirmé.
Madame X n’a pas été seulement séduite par l’apparence de Monsieur X. Elle a également clamé le calme et la patience de l’homme. En effet, contrairement à ce à quoi on pourrait assister dans de pareils cas, Monsieur X ne s’est pas jeté sur sa « proie » au premier rendez-vous. « C’était quelqu’un de patient. Il savait ce qu’il voulait. Je m’attendais à quelqu’un qui va me demander en même temps d’aller au s3xe, mais non…On a fait au moins trois mois ensemble sans qu’il demande du s3**xe », a témoigné Madame X.
« C’était le paradis »
Après ce premier contact, Madame X a été convaincu que sa vie allait désormais changer. Le monsieur lui écrivait par moment et lui envoyait très souvent de l’argent. C’était le paradis, elle était émerveillée. Enfin !!!, Dieu lui a envoyé un sauveur. « J’étais émancipée et j’avais éradiqué totalement le côté villageois en moi ». Mais en réalité, ce n’était qu’une entrée en matière qui cachait le cauchemar qui l’attendait sur le parcours du tunnel.
Un soir, le couple circonstanciel menait une discussion au cours d’un dîner quand le sujet sur les fantasmes a été évoqué par Monsieur X. C’est alors que Madame X découvre que son compagnon aime qu’on lui l*ch3 le c*l. Il avait même confié à cette dernière qu’il préfère cette pratique s£xµ£lle que la pén*tration.
Elle avait été donc avertie, mais en pesant le pour et le contre avec les yeux rivés sur le luxe que lui offrait le type, elle a décidé de tenter l’aventure.
Le cauchemar…
Pour la première fois qu’ils ont convenu d’aller au s£x£, Monsieur X a organisé une sortie en week-end, loin de la ville. Elle voulait donner le meilleur d’elle-même pour sécuriser sa seule entrée financière. Mais les choses ont vite tourné en cauchemar.
Quand on a fini le 1er et le 2e tour, il dormait quand je l’ai réveillé en lui faisant ce qu’il voulait. J’ai remarqué qu’il aimait véritablement ça. Pendant que je faisais ça, j’ai senti que j’ai avalé un truc. Psychologiquement, j’étais déstabilisé et je ne voulais plus continuer, mais il me demandait avec une voix menaçante de ne pas m’arrêter. J’ai continué et c’est à ce moment qu’il a ch*é sur mon visage. J’ai crié et je me suis rendue dans la salle de bain. Après avoir nettoyé mon visage, j’ai pleuré pendant longtemps devant le miroir.
Madame X
Monsieur X n’est pas resté insensible à la douleur de sa compagne. Il s’est excusé en arguant qu’il n’avait pas fait exprès. Le week-end a repris normalement comme si de rien n’était. Mais Madame X n’était pas au bout de sa peine. Quand elle est rentrée, elle a constaté qu’elle sentait mauvais, même quand elle se douchait. Dans son entourage, la remarque lui a été faite à plusieurs reprises.
Même dans ses démarches de recherche d’emploi, l’odeur la suivait. A chaque rendez-vous d’entretien, la mauvaise odeur qu’elle porte se faisait remarquer. A un moment donné, elle a dû arrêter de postuler. Alors qu’elle avait déjà coupé tout contact avec Monsieur X, face aux difficultés, elle a été contrainte de le relancer à nouveau. Toutefois, elle avait refusé de le rencontrer physiquement. Dans la foulée, Monsieur X lui a envoyé une enveloppe de 3 millions de francs CFA par le biais de son chauffeur. Mais, selon ses dires, cet argent n’a pas servi à relever son niveau de vie. Elle a investi dans la recherche de solution contre l’odeur qui a pris siège sur son corps, mais en vain.
Madame X lâchée par son ami, le démarcheur
Ne sachant plus à quel saint se vouer, elle a écrit à son ami qui lui avait présenté le type. Celui-ci, après avoir été mis au courant du problème d’odeur, a pris la poudre d’escampette. Il est porté disparu et n’a plus jamais contacté la fille.
Jusqu’à l’heure où nous mettons sous presse, Madame X continue de chercher des solutions et reste ouverte aux propositions. Elle s’est rendue compte qu’elle a été dans un paradis à court terme. « Je n’ai même pas essayé d’entreprendre avec tout cet argent que je prenais. Aujourd’hui, je suis juste une fille qui traîne une odeur », regrette-t-elle.