Bon à savoir : voici la malédiction dont souffrent les capricornes en amour
Plutôt qu’une malédiction qui nous tombe dessus, il faut plutôt voir cette série d’articles (car oui, tous les signes sont concernés) comme un assortiment de mauvaises habitudes qui nous collent à la peau. Les Sagittaire décampent dès qu’il s’agit de sentiments, les Scorpion ne font confiance à personne et les Vierge ont le syndrome du Saint-Bernard…
Bien entendu, si tout ça vous semble un peu caricatural, c’est que ça l’est. On ne le redira jamais assez, mais l’astrologie ne détermine personne et tous les natifs d’un signe ne se ressemblent pas. Ceci étant dit, si jamais vous cherchiez du réconfort après une rupture avec un Capricorne, nous sommes aussi là pour ça.
Ce n’est pas qu’un cliché astrologique : le signe de la chèvre à queue de poisson est excessivement carré. Avec lui, tout doit toujours être impeccable. Dernier des signes de Terre, premier des signes d’hiver, il incarne l’auto-discipline qu’il faut pour survivre en terrain hostile. C’est l’une des raisons pour lesquelles on le juge souvent indifférent ou froid, au premier abord. Une rudesse qui s’explique en vérité par un contrôle de soi en béton armé qui dérive lui-même d’une terrible exigence. Le Capricorne ne se fait pas de cadeau. En astrologie, on explique cela par sa planète phare : Saturne, maîtresse des épreuves, des cadres, du temps.
La chèvre zodiacale s’impose des règles strictes et pas question d’y déroger. Elle se limite en permanence. Vous vous en doutez, il y a bien un moment où cette attitude qui peut être utile à un certain degré peut aller trop loin et empiéter sur sa vie amoureuse. Ses attentes démesurées envers son partenaire ou sa vie de couple en général ont deux effets pervers. Cela fait souffrir le Capricorne en question car la vérité ne colle pas à l’idée paramétrée qu’il s’en était faite… mais aussi son partenaire qui a l’impression de ne jamais en faire assez. Fort heureusement, ce cas de figure est extrême et ce n’est pas une fatalité.
On l’a dit, le Capricorne suit les préceptes de Saturne, astre que l’on représente souvent par une faucheuse. Si vous vous demandiez d’où venait la réputation de cœur des pierre des Capricorne, il faudrait chercher par là. Plus sérieusement, la planète aux anneaux tient son nom de Kronos : titan et père tyrannique des dieux de l’Olympe. Encore aujourd’hui, si le Capricorne incarne notre sens des responsabilités et la capacité de nous restreindre, c’est surtout qu’il est considéré comme la figure parentale stricte par essence.
Si ce « daron céleste » qu’est le Capricorne est si dur avec les autres, c’est surtout qu’il l’est avec lui-même. À force de ne jamais rien laisser passer et d’avoir un seuil de tolérance à l’erreur proche de zéro, forcément, on finit par se juger en permanence et faire de même pour les autres. Même et surtout ce que l’on aime le plus.
En amour, le Capricorne aurait tout intérêt à savoir quand se lâcher la grappe, à lui et à l’être aimé. Pourquoi ne pas s’inspirer de son opposé polaire, le Cancer, pour faire preuve de plus de douceur, de bienveillance ? Apprendre à ne pas vouloir tout contrôler, à déléguer (même le programme des vacances, oui), ça fait aussi partie de la confiance que l’on accorde aux autres. Et sans confiance, « il n’y a pas d’amour heureux », chanterait George Brassens