Depuis quelques jours, la toile béninoise est en ébullition suite à la fuite d’un vocal WhatsApp qui révèle une proposition pour le moins choquante et scandaleuse. Une “bizi girl” aurait osé proposer à un potentiel client un abonnement sexuel à 20 000 FCFA par mois. La nouvelle a suscité l’indignation et de vifs débats.
Une proposition d’abonnement sexuel dévoilée dans un audio d’une jeune femme, enregistré depuis sa chambre au quartier Akpakpa à Cotonou, fait rage sur la toile. Dans cet enregistrement audio troublant, la jeune femme explique que cet abonnement mensuel donne droit à trois rencontres intimes avec elle. Mais ce n’est pas tout, elle précise également que le montant de l’abonnement inclut ses frais de déplacement et de “rafraîchissement”.
Selon ses propres termes, elle aurait besoin de prendre une à deux bouteilles pour être dans des conditions optimales avant de s’engager dans des activités intimes. Une déclaration qui a certainement provoqué l’étonnement et l’indignation de nombreux Béninois.
Cette proposition ahurissante a suscité des réactions mêlées au sein de la population béninoise. Certains ironisent en soulignant que Canal+ a enfin trouvé un concurrent sérieux en termes d’abonnement. D’autres, plus sérieux, condamnent cet acte, estimant qu’il dévalorise et ridiculise la femme. L’indignation est palpable dans les discussions et le s3xe se retrouve au cœur d’un débat animé sur la toile béninoise.
Des questions émergent quant à l’évolution des mœurs et de la société. Comment en est-on arrivé là ? Quelle est la place du s3xe dans la société contemporaine ? Autant de questions qui restent sans réponse à l’heure actuelle.
Atteinte à la dignité et au respect de la femme
Mieux, la jeune femme insiste sur le fait que seuls les clients résidant dans les environs d’Akpakpa peuvent bénéficier de ses services. Elle est catégorique : venir chez elle permettrait d’éviter les scandales. Elle rassure également en précisant que sa maison est facilement accessible.
Ce scandaleux abonnement sexuel continue d’agiter la toile béninoise, où il soulève des controverses entre ceux qui voient en cela une simple évolution des mœurs et ceux qui estiment que cela porte atteinte à la dignité et au respect de la femme.
L’avenir nous dira si ce genre d’abonnement saugrenu va se multiplier ou s’il s’agit d’un cas isolé, mais une chose est sûre : cette proposition indécente a largement dépassé les frontières de la chambre d’Akpakpa, alimentant des discussions enflammées et divisant l’opinion publique.
Malheureusement, la brigade des moeurs qui est censée réprimandée ces jeunes oppose un silence assourdissant à ces scadanles s3xuel devenus monnaie courante sur le réseau social Tiktok au Bénin.
