Une cinquantaine d’agents évoluant au sein de l’Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste (Arcep-Bénin) seront bientôt licenciés. Les travailleurs concernés par cette mesure ont été informés au cours d’une séance de travail qui s’est tenue à l’Inspection du Travail le vendredi 24 décembre 2021.
Des vagues de licenciement des agents en vue à l’Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste (Arcep-Bénin) pour motif économique. La raison fondamentale de ce licenciement est liée à des contraintes financières sous lesquelles la structure risque de s’écrouler si cette réforme n’intervient pas.
Une cessation définitive de contrat de travail par l’Arcep-Bénin
La digitalisation des services de l’institution a rendu d’une part des agents inopérants avec une baisse drastique des recettes qui ne facilite pas d’autre part le paiement des salaires. Ces différentes raisons ont conduit l’Arcep-Bénin à commettre un cabinet qui a évalué les besoins réels de l’institution en compétences.
Des négociations seraient en cours avec ces banques dans le but de faciliter la situation aux agents. Il est aussi annoncé que les droits seront calculés sur les 12 derniers mois d’exercice des agents. Par contre, les trois mois de préavis seront payés selon la nouvelle grille salariale qui entrera en vigueur en janvier 2022.
Les travailleurs concernés par ce projet de licenciement économique estiment que cette cessation définitive de contrat de travail par l’Arcep-Bénin est arbitraire, antisociale et viole tout simplement le droit positif béninois.