Bénin: la “casse-couille” Alèdjo Maora dévoile les raisons de son absence sur la toile
Après environ deux semaines d’absence sur Facebook, l’activiste béninoise a fait son retour triomphale ce dimanche 17 mai 2021. Une occasion choisie par l’amazone de la toile pour donner à ses followers, les raisons de son absence.
Alèdjo Maora, celle qui se fait appeler l’ex-femme du président béninois Patrice Talon est de retour sur les réseaux sociaux. Selon ses explications, son absence est due au piratage de sa page Facebook. “Même dans le désarroi, je sais désormais compter sur vous et cela fait vraiment chaud au cœur”, a-t-elle lancé comme pour signaler sa présence.
Dans son message, la jeune activiste a expliqué que sa page a été signalée avant que les pirates n’en prennent possession. “Vous savez, lorsque vous êtes en bonne harmonie avec le cosmos et les choses de la vie, la nature même vous protège, dit-elle.
“Les bandits virtuels ont tellement signalé mon compte que Facebook m’a censuré. Je n’avais donc pas la main ni pour publier ni pour commenter. Je n’avais accès qu’à ma messagerie”
Alèdjo Maora
A l’en croire, si sa page n’était pas sécurisée, ses abonnés auraient eu droit à une plurielle de publications qui n’ont aucun rapport avec sa ligne éditoriale pour la déstabiliser aux yeux de l’opinion publique.
“J’ai récupéré ma page intacte après moultes démarches et Facebook a levé la sanction aujourd’hui après plusieurs courriers. Je rends grâce. J’ai été sincèrement sensible à toutes vos sollicitudes pendant toute cette période”, peut-on lire dans son message.
Alèdjo Maora est une activiste et opposante béninoise de la diaspora. Elle réside en Belgique avec son époux, un belge avec qui, elle s’affiche très rarement sur les réseaux sociaux.
En décembre 2019, Maora a été qualifiée de “casse-couille jolie et impolie” dans une chronique qui lui a été dédier par Constantin Amoussou.
“ALEDJO MAORA OU LE PORTRAIT D’UNE CASSE-COUILLES JOLIE ET IMPOLIE…”, avait titré Constantin à l’époque où il n’avait pas encore rejoint les Saigneurs de la République.
“C’est comme s’il ne vous restait qu’une couille sur deux, qu’une boulette grosse comme une bille. Dans la bille quelques millilitres de lait coagulé. C’est comme si “une petite fille jolie et impolie” s’amusait à vous la tenir, la boule, l’unique qu’il vous reste, et se mettait à vous la “malléer”, la presser, la triturer”, avait-il indiqué.
Ce que Constantin Amoussou pense que Maora Alèdjo
Elle a le regard brûlant comme le soleil au zénith. Elle est court-vêtue, jupette et soutien-gorge en cuir noir ciré; d’un noir qui tranche avec son éclat bronzé, laissant entrevoir le long de ses longues jambes nues, un pays à explorer, un horizon où s’évanouir.
La diablesse plonge, sans coups férir, sa main droite dans votre caleçon et vous tient la boule dans sa main; et elle vous lance: ” Mon doux chéri, s’il est vrai que tu as le souffle toujours aussi puissant, montre-moi ce qu’il te reste, dans tes couilles. Tue-moi ce soir”.
Elle vous parle et dans son regard, vous lisez la profondeur de ses attentes ; elle vous agresse et vous percevez qu’elle est humide comme une fontaine. Sa poitrine, chaude, se dilate en mille morceaux de soupirs; et ses hanches battent à rythmes saccadés.
Elle vous donne le dos, et dans son élan, vous trouvez un champ à labourer, des sillons à creuser, un paysage à irriguer.
Vous êtes coincé dans votre pantalon “djangoun” et vous voyagez, allez et venez. En esprit. Vous pénétrez du regard le boulevard qui s’offre à vous. Le paysage est beau , le champ s’étend, sans embûches; et dans votre boule, dans sa main, le beurre se liquéfie; vous avez envie de vous lever brutalement, de soulever la tête, de foncer tête baissée, de bourlinguer, et d’y semer du bordel.
-Eh Maora! Est-ce que tu vas arrêter, que vous lui dites! -Est-ce que tu peux chevaucher la chose que tu es en train d’allumer comme ça là? -Est-ce que tu sais que je suis l’homme au souffle puissant ?
-Est-ce que tu sais que je peux t’envoyer un Procureur pour te mettre en prison pour ça? -Est-ce que tu sais qu’on va te mettre nue comme un ver de terre et te hisser sur ma potence, sur l’instrument du mâle, à califourchon sur mon instrument du mâle?
Vous croyez l’intimider. Vous renfrognez la mine et haussez le ton. Vous dites que vous avez un marteau dans la poche et qu’elle devrait arrêter. Que d’un marteau à un godemiché, il n’y a qu’un pas.
Vous dites que vous allez la suspendre au-dessus de votre “instrument du mâle”, pour quatre heures d’horloge… Et la petite casse-couilles vous répond :
-Mon bien-aimé chéri au souffle puissant, c’est pour être suspendue sur l’instrument du mâle là-même que je suis venue ici. -Ou tu me pends dessus, ou je te la casse, la dernière boule!
Et la fofolle poursuit: -Je ferai la photo de ta dernière boule, réduite en bouillie, et je vais poster sur mon mur pour récolter 10.000 likes et 5.000 commentaires.
-Je vais mettre feu à la toile, chéri, que je te dis. Je me ferai soulever, cogner et culbuter par un Belge membré comme un âne et j’enverrai les photos sur facebook.
-Je suis venue te casser les couilles. Tu vas en souffrir, mais tu ne pourras rien faire. C’est ça que j’ai dit. Oui! C’est ça! Un Belge qui n’a même pas coupé le zizi, mais je vais lui mettre une bague sur le prépuce, pour lui viriliser la tige de tourbillon.
-Les connes chantent que tu es “l’homme au souffle puissant” mais quand il s’agit de ramasser tes slips sales qui traînent sous le lit, il n’y a plus personne. Je vais ramasser tous tes sales caleçons et faire des selfies avec…
Elle dit plein de conneries comme cela et saute dans un avion pour Bruxelles. Et depuis trois ans, elle lui casse les couilles, à son mec, son ex, sur la toile. Photos et postures affriolantes; un mec géant deux fois comme l’ex.
Elle clame son savoir-faire, et ne rate aucune occasion pour ouvrir le feu sur son ex, au moindre faux pet. Et depuis peu, lui n’arrête pas plus d’empester: -Qu’on me la pende dessus que je dis!
-Mais, c’est mort, patron! -Foutez-moi la paix! Dites que vous êtes des incapables! Il empeste. Et la petite Maora, depuis la toile, chaque jour, lui casse encore un peu plus la couille ; et même qu’à présent, elle lui casse du sucre dessus la bouillie. On dit qu’il en souffre, mais ne peut rien faire.
Alléluia ma sœur cmt tu vas?Sans te mentir et du fond de mon cœur tu m’as manqué.Ils essaieront par toutes les voies mais l’Étenel les confondra,reste sans crainte car en cette semaine d’effusion du Saint Esprit,ton nom est exposé à l’Autel de toutes les paroisses.Les pirates ne sont rien d’autres que ces politiciens jte souffle,sois bénie amen 🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏