Dans l’émission « Diagonale » de la Webtv Binews, Florent Eustache Hessou, Docteur en sociologie de développement a une fois encore réitéré son appréhension sur les résultats de ses travaux de recherches qu’il a effectué sur la Sorcellerie.
La thèse de doctorat sur le thème « Représentations sociales de la sorcellerie (AZE) chez les fon du Sud-Bénin » soutenue le 10 novembre dernier à l’Université d’Abomey-calavi par le journaliste et animateur culturel, Florent Eustache Hessou a fait beaucoup de commentaires sur les réseaux sociaux sous prétexte que ce sujet relève d’un fait tabou.
Mais le nouveau docteur compte aller loin dans ses travaux de recherches effectués afin de mettre ce type de savoir au service du développement. Reçu dans l’émission « Diagonale » de la Webtv Binews le samedi dernier, Florent Eustache Hessou a clarifié la justesse de ses travaux de recherches. Il estime de façon convaincante que la sorcellerie n’est « qu’une batterie de connaissances qu’on peut utiliser pour le développement » et il l’a démontré dans sa thèse.
À travers une observation minutieuse, l’animateur culturel précise que la sorcellerie regorge en son sein des aspects positifs qui peuvent contribuer au développement. « Si on regarde ça de très près, on doit pouvoir trouver des mécanismes pour un petit brin de positivité, pour une petite lumière de développement », déclaré Florent Eustache Hessou.
Florent Hessou dit avoir détecté la sorcellerie dans la Bible et le Coran, mais aussi dans plusieurs secteurs d’activités. « Dans ma thèse, j’ai détecté la sorcellerie dans tous les domaines d’activité. La sorcellerie dans la Bible, dans le Coran, dans les usines, dans les maisons, partout, et même dans le sport », a-t-il poursuivi dans ses propos rapportés par La Nouvelle Tribune.
Le journaliste souhaite qu’on cerne les idées développées dans ses travaux de recherches comme une ouverture de débat sur le sujet. Et toutes les diverses commentaires qui ont été évoqués de façon « négatif sur son travail », Florent Eustache Hessou prévoit les métamorphosés en un « spectacle d’humour qui va s’intituler SorcelleRire ».
